domingo, 28 de febrero de 2010
AZUL, AMARILLO, CRISTINA Y ANNA
Hoy, mi humor literario ha ido a dar una vuelta por la pintura y algún dialecto. Por asociación de ideas y sobre todo de colores, he juntado a Cristina Lozano, una apasionada filóloga con Anna Klimowicz, una pintora y decoradora de valor. Cristina está elaborando un diccionario con uno de los dialectos tunecinos, y lo que pinta Anna salta a la vista. ¡Qué vivan el azul y el amarillo!
Aujourd'hui, mon humeur littéraire est allée faire un tour du côté de la peinture et d'un dialecte. À travers l'association d'idées et surtout de couleurs, j'ai réuni Cristina Lozano, une philologue passionnée et Anna Klimowicz, une femme peintre et décoratrice de talent. Cristina est en train de confectionner un dictionnaire avec l'un des dialectes tunisiens et ce que peint Anna saute aux yeux. Vive le bleu et le jaune!
domingo, 21 de febrero de 2010
EL LIBRO ES INMORTAL
Ay esas librerías donde huele a alma de árbol que se ha multiplicado por otras hojas. Donde la luz tenue induce a leer otros pensamientos, y permite adivinar la sensual invitación de esos lomos, en las baldas, que te susurran: “Cógeme” Cosa que hace la librera tras tu pregunta, alcanzándote el libro con un: “Éste. Te gustará”, acompañado de una sonrisa similar a la del librero de “La Historia Interminable” Y pocas veces se equivoca porque conoce tus gustos, aunque no los comparta siempre. Existen curiosas y tolerantes complicidades librescas.
No te preocupes, el libro nunca morirá.
Pasarán años, abrirán y cerrarán librerías o bibliotecas, nacerán nuevas tecnologías, pero la lectura sobre papel seguirá. Porque al igual que para el amor, representa la alquímica fusión entre los cinco sentidos. Un libro se toca, lee, huele, oyes sus hojas girar con ese leve frufrú, como cuando eran de árbol. Ah, pero alguno dirá que no se puede probar con el gusto. Sería olvidarnos del sabor y regusto inolvidable que depositaron libros en nuestra memoria. Y que a ratos el recuerdo vuelve a paladear…
El libro nunca morirá, mientras haya lectores y libreros que lo amen con los cinco sentidos… Y el sexto, aunque sea invisible. Como el alma de los árboles.
Ah ces bibliothèques qui sentent l'âme de l'arbre qui a été multiplié par d'autres feuilles. Où la faible lumière incite à lire les pensées des autres, et permet de deviner l'invitation sensuelle des dos des livres, sur les étagères et qui murmurent: "Prends-moi" Chose que fait la libraire suite à ta demande, en t'apportant le livre avec un sourire semblable à celui du libraire de "L'Histoire sans Fin" Et elle se trompe peu souvent, car elle connaît tes goûts, même si elle ne les partage pas toujours. Il existe de curieuses et tolérantes complicités livresques.
Ne t'en fais pas, le livre ne mourra jamais.
Des années passeront, des librairies ou bibliothèques ouvriront ou fermeront, de nouvelles technologies verront le jour, mais la lecture sur papier continuera. Car à l'instar de l'amour, elle représente la fusion alchimique des cinq sens. On touche un livre, on le lit, sent, entend ses feuilles tourner avec ce léger bruissement, comme lorsqu'elles étaient d'arbres. Ah, mais certains diront: tu ne peux pas le goûter. Ce serait oublier le goût inoubliable, voire l'arrière-goût qu'ont déposé les livres dans notre mémoire. Celle-ci aimant à nous les refaire savourer de temps en temps...
Le livre ne mourra jamais, tant qu'il y aura des lecteurs et des libraires qui l'aimeront avec leurs cinq sens. Et leur sixième, même s'il est invisible. Comme l'âme des arbres.
No te preocupes, el libro nunca morirá.
Pasarán años, abrirán y cerrarán librerías o bibliotecas, nacerán nuevas tecnologías, pero la lectura sobre papel seguirá. Porque al igual que para el amor, representa la alquímica fusión entre los cinco sentidos. Un libro se toca, lee, huele, oyes sus hojas girar con ese leve frufrú, como cuando eran de árbol. Ah, pero alguno dirá que no se puede probar con el gusto. Sería olvidarnos del sabor y regusto inolvidable que depositaron libros en nuestra memoria. Y que a ratos el recuerdo vuelve a paladear…
El libro nunca morirá, mientras haya lectores y libreros que lo amen con los cinco sentidos… Y el sexto, aunque sea invisible. Como el alma de los árboles.
Ah ces bibliothèques qui sentent l'âme de l'arbre qui a été multiplié par d'autres feuilles. Où la faible lumière incite à lire les pensées des autres, et permet de deviner l'invitation sensuelle des dos des livres, sur les étagères et qui murmurent: "Prends-moi" Chose que fait la libraire suite à ta demande, en t'apportant le livre avec un sourire semblable à celui du libraire de "L'Histoire sans Fin" Et elle se trompe peu souvent, car elle connaît tes goûts, même si elle ne les partage pas toujours. Il existe de curieuses et tolérantes complicités livresques.
Ne t'en fais pas, le livre ne mourra jamais.
Des années passeront, des librairies ou bibliothèques ouvriront ou fermeront, de nouvelles technologies verront le jour, mais la lecture sur papier continuera. Car à l'instar de l'amour, elle représente la fusion alchimique des cinq sens. On touche un livre, on le lit, sent, entend ses feuilles tourner avec ce léger bruissement, comme lorsqu'elles étaient d'arbres. Ah, mais certains diront: tu ne peux pas le goûter. Ce serait oublier le goût inoubliable, voire l'arrière-goût qu'ont déposé les livres dans notre mémoire. Celle-ci aimant à nous les refaire savourer de temps en temps...
Le livre ne mourra jamais, tant qu'il y aura des lecteurs et des libraires qui l'aimeront avec leurs cinq sens. Et leur sixième, même s'il est invisible. Comme l'âme des arbres.
lunes, 15 de febrero de 2010
MILLENNIUMEL TRIUNFO DE UN MUERTO
Resultaría fascinante, el hecho de saber si Stieg Larsson (Suecia, 1954-2004), hubiera tenido el mismo éxito, de no haber fallecido poco tiempo antes de ver su obra publicada. Pero quizá sea aún más fascinante el estar seguros de que jamás lo sabremos...
Planteado esto, me parece que la serie Millennium nos reconcilia con el típico tocho-best seller-simplón. Ya sabes, ese ladrillo que se te cae de las manos en el metro en la página 456 y cuando has despertado, te lo han robado. Esas mejores ventas con las que nos acogotan algunas grandes editoriales, escritas como se habla, sin una metáfora, aforismo o juego de palabras de más. Han inventado la literatura light.
Pero no es el caso de los libros de Stieg Larsson, que constan cuando menos de un estilo literario ¡Albricias! Cuando debería ser un requisito mínimo para una obra.
Su estilo no es apabullante, pero aún así, Larsson demuestra que un autor puede abrir y cerrar millones de cajas registradoras, sin tomar a sus lectores por palurdos no leídos. Y es que uno puede vender mucho, respetando un mínimo de calidad literaria.
Il serait fascinant de savoir si Stieg Larsson (Suède, 1954-2004), aurait eu le même succès, s'il n'avait pas décédé peu de temps avant d'avoir vu son oeuvre publiée. Mais le fait d'être sûr que nous ne le saurons jamais, est sans doute encore plus fascinant...
Ceci posé, il me paraît que la série Millennium nous reconcilie avec le typique gros bouquin-best-seller-simplet. Tu sais, ce pavé qui tombe de tes mains dans le métro à la page 456 et quand tu t'es réveillé, on te l'a volé. Ces meilleures ventes avec lesquelles certaines maisons d'édition nous assomment, écrites comme on parle, sans une seule métaphore ou jeu de mots en trop. Elles ont inventé la littérature light.
Son style n'est pas epoustouflant, mais malgré tout, Larsson démontre qu'un auteur peut ouvrir et fermer des millions de tiroirs-caisses, sans prendre ses lecteurs pour des rustres incultes. On peut vendre beaucoup, tout en respectant un minimum de qualité littéraire.
jueves, 11 de febrero de 2010
NIÑ@S
¡Hola pequeño lector! Oye, de tanto chatear, ¡¡te olvidas de los acentos!! ¿Qué sería por ejemplo de un pájaro sin su tilde? No podría volar, porque ya no representaría un ¡PÁ!jaro (como imitando un globito que estalla, aunque sin pasarse, eh. He dicho un globito, no un petardo.) Qué misterio, verdad, lo de los acentos... En francés, se ponen sobre todo en la "e". Por ejemplo en el nombre: "Pégase". ¿Sabes quién o qué es? ¡¡Un caballo que vuela él también!! Búscalo en Internet.
!!Pero no navegues por Internet sin que lo sepan tus padres, ¿vale?
Salut petit lecteur! Dis-donc, à force de chatter, tu en oublies les accents! Que deviendrait un "pájaro" (oiseau) sans le sien? Il ne saurait pas voler, car ce ne serait plus un PÁ!jaro (comme si tu imitais un petit ballon qui exploserait. Mais sans exagérer, eh. J'ai dit un ballon, pas un pétard.) Quel mystère, n'est-ce pas, les accents... En français, on les met surtout sur le "e". Par exemple avec le nom "Pégase". Tu sais qui c'est ou ce que c'est? Un cheval qui vole lui aussi!! Cherche-le sur le Net.
!! Mais ne surfe pas sur l'Internet sans que tes parents le sachent, ok?
domingo, 7 de febrero de 2010
¿SHERLOCK DOYLE O CONAN HOLMES?
CONAN DOYLE. Es curioso cómo algunos protagonistas llegan a ser los perfectos álter ego de sus creadores. El uno representando casi la sombra del otro. Y viceversa, claro. En efecto, resulta imposible no pensar en Conan Doyle cuando lo hacemos con Sherlock Holmes.
Pero no olvidemos que aquél (Edimburgo 1859 - Crowborough, 1930) también fue el autor de El Mundo Perdido (1912)... Y un acérrimo defensor de la existencia de la dimensión élfica. ¿Cómo han podido cohabitar en mente tan sumamente lógica el detective y el hada? Es un misterio que ni siquiera Sherlock hubiera podido resolver.
C'est curieux, mais certains héros deviennent de parfaits alter ego de leurs créateurs. L'un représentant presque l'ombre de l'autre. Et vice versa, bien sûr. En effet, il est impossible de ne pas penser à Conan Doyle, lorsque nous le faisons avec Sherlock Holmes.
Mais n'oublions pas qu'Arthur Conan Doyle fut aussi l'auteur du Monde Perdu (1912)... Et un défenseur acharné de l'existence de la dimension elfique. Comment ont bien pu cohabiter, en un esprit si logique, le détective et la fée? Voilà un mystère que même Sherlock n'aurait pu résoudre.
SOPA DE LETRAS: Algunos alumnos míos se extrañan mucho cuando les traduzco "épicier, ère." como: "abacero, ra.", esto es la persona que tiene abacería. La cual a su vez es un puesto o tienda donde se vende al por menor aceite, vinagre, legumbres secas, bacalao, etc...(Fuente: Diccionario de la R.A.E). O sea, una tienda de ultramarinos. Y es curioso, porque aún no es un arcaísmo, si bien de no usarlo, llegará a serlo. Eso sí, un avispado alumno me ha comentado que las tiendas de ultramarinos desaparecerán antes...
Certains élèves s'étonnent beaucoup lorsque je leur traduis "épicier, ère" ainsi: "abacero, ra.", c'est-à-dire la personne qui tient une "abacería." Celle-ci étant un magasin où l'on vend au détail de l'huile, du vinaigre, des légumes secs, etc... (Source: Dictionnaire de la R.A.E). Donc, une épicerie. Mais c'est curieux, car bien que ce ne soit pas encore un archaïsme, si on ne l'utilise pas, il le deviendra. Ceci dit, un élève futé m'a dit que les épiceries disparaîtront avant...
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