viernes, 4 de febrero de 2011

2011 RAZONES PARA QUE SEA MI AÑO...


... Aunque no sean tantas, me conformo con las dos excelentes noticias que he recibido al arrancar este año. En primer lugar, una editorial de Tarragona: Nautical Union Works, ha aceptado mi poemario "Al borde del tiempo azul". Lo publicará en estos próximos meses y en edición tradicional.
En segundo lugar, mi novela inédita "La muerte alucinante de Lautréamont" ha provocado el entusiasmo de un editor de Madrid, que por "razones técnicas", no puede dar mi libro a luz. "¡No sabes la rabia que me da el no poder publicar tu novela!", me ha confesado entre varios halagos sobre mi obra. De hecho, me ha recomendado a un gran editor a través de mi agente. Así que continuará... Por tanto todavía existen editores y comités de lectura capaces de entusiasmarse y echarte un cable, aunque ni siquiera te conozcan personalmente (pero en el fondo, lo que importa es el libro y no el autor..., tópico que convendría recordar hasta la saciedad). Y eso te reconcilia un tanto con este mundillo literario lleno de apariencias, libros y decorados huecos como los de Hollywood.

2011 RAISONS POUR QUE CE SOIT MON ANNÉE...

... Même si finalement il n'y en a pas autant, je me contente de ces deux excellentes nouvelles avec lesquelles cette année a commencé. En premier lieu, une maison d'édition de Tarragone : Nautical Union Works a accepté mon recueil de poèmes: "Al borde del tiempo azul" et le publiera en quelques mois. Et ce, à compte d'éditeur.
En second lieu, mon roman "La muerte alucinante de Lautréamont" a provoqué l'enthousiasme d'un éditeur de Madrid, qui ne peut pas donner le jour à mon livre pour des "raisons techniques" "Si tu savais à quel point ça me met en rogne de ne pas pouvoir publier ton roman!", m'a-t-il avoué, parmi plusieurs compliments sur mon oeuvre. D'ailleurs, il m'a recommandé à un grand éditeur à travers mon agent. Alors, affaire à suivre...
Donc il existe encore des éditeurs et des comités de lecture capables de s'enthousiasmer et de te tendre la perche même s'ils ne te connaissent pas personnellement (Mais au fond, c'est le livre qui compte et non pas l'auteur, lieu commun qu'il conviendrait de répéter jusqu'à satiété). Et cela te réconcilie un peu avec cet univers littéraire plein d'apparences, de livres et décors creux comme ceux d'Hollywood.